Lyon s’engage aussi
Un marronnier que nous, les Femmes, nous adorons !
Nouvelle réflexion sur la Journée internationale des Droits des Femmes.
« Tant que l’égalité ne sera pas parfaite
Le 8 mars continuera d’être célébré !«
Ignorant volontairement les combats contemporains de certaines stars et starlettes offensées, qui me soûlent vraiment avec leurs « monologue du machin », « moi aussi » ou « dénonce ton cochon » (attention, ça n’engage que moi !),
j’évoquerai plutôt Marie Gouze, Olympe de Gouges de son pseudo, qui avait osé écrire en 1791 la « Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne ». Son combat l’a conduite sur l’échafaud le 3 novembre 1793. Elle avait 45 ans.
« La femme a le droit de monter sur l’échafaud,
elle doit avoir également celui de monter à la Tribune. »
Au début du 20e siècle, Clara Zatkin, journaliste allemande, a instauré la première conférence internationale des Droits des Femmes (1907). La deuxième, en août 1910. En 1914, la date du 8 mars est choisie.
Ce n’est qu’en 1982, à l’initiative de Madame Yvette Roudy, Ministre du Gouvernement de François Mitterrand, que la journée du 8 mars est reconnue officiellement en France.
Et comme on n’arrête pas le business progrès, Hélène Darroze, la Cheffe étoilée s’est vue offrir, pour la circonstance, une poupée Barbie à son effigie. Après le sport, une poupée pour la gastronomie, c’est l’pied (de cochon, comme on dit à Lyon) !