Deux en un le samedi

Ho ho ho ! c’est Noël
Ma’ nous demande, pour son Projet du jour, de scintiller
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Ce matin, des milliers (millions) de petits yeux vont briller de mille feux en découvrant ce que leur a apporté le Père NoNo

A la gare de la Part Dieu, ça scintille aussi !

Entre les deux files des gens pressés qui ne prennent pas la peine de voir les décos, j’ai pu prendre mes photos, le sapin pour Ma’ et la boule pour Patricia sans un seul passant sur mes photos, un exploit 😆

Les 24 Heures Photo de Patricia
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La gare est en rénovation/révolution depuis des mois. Ces décos géantes agrémentent le paysage.

Les origines des traditions de Noël/5 et 6

5 – Les chants
En anglais, « chant de Noël » se dit carol. Le vocable est une combinaison -mot valise !- du mot grec choraulein, c’est-à-dire une danse au son de la flûte, et de l’ancien français caroller, qui signifiait « danser en ronde ». Ces cantiques auraient été incorporés aux offices religieux par Saint François d’Assise, au XIIe siècle. Chantés au début des messes quotidiennes, ils ont été par la suite réservés à Noël.
La coutume de chanter dans les rues peut être associée à la Rome antique et aux troupes d’artistes, mimes, chanteurs et danseurs, qui allaient de maison en maison durant la fête hivernale des Saturnales. Au Moyen Age, les paysans avaient l’habitude de rendre visite à leur seigneur au Nouvel An afin de chanter et de bénir sa maison en échange d’un vin chaud épicé et d’autres cadeaux. Alors qu’aujourd’hui, ces chants de Noël évoquent plutôt des chorales d’enfants aux joues rebondies en train de célébrer la naissance du Christ, certaines des premières chansons avaient des connotations plutôt menaçantes. Les troupes de chanteurs étaient souvent composées de jeunes gens bagarreurs qui voyaient là l’occasion d’obtenir quelques faveurs des nantis et vouaient aux gémonies quiconque leur refusait l’entrée :
« Nous sommes venus réclamer notre dû
Et si vous n’ouvrez pas la poste,
Nous vous laisseront mort sur le carreau. »


6 – La bûche
La tradition de la bûche de Noël est née en Europe Nord, chez les Scandinaves. Jol ou Jule (prononcé « youle ») était une fête célébrée lors du Solstice d’hiver, en l’honneur de Jolnir, plus connu sous le nom d’Odin, le dieu des boissons alcoolisées, de l’extase et de la mort. On festoyait, on buvait autour de grands feux de joie et on allumait des flambées dans les cheminées.
La coutume s’est répandue dans d’autres parties d’Europe, où l’adoration des arbres était déjà un rituel païen. Les familles s’aventuraient dans les bois pendant la nuit de Noël et coupaient une bûche de chêne qu’ils rapportaient à la maison , tout cela dans une atmosphère festive et en chansons. La bûche était mise dans la cheminée et le feu devait brûler pendant douze jours.
On croyait que cela apportait la santé à la famille, de bonnes moissons pour l’année à venir, et protégeait la maisonnée de la sorcellerie et des démons. Quand le feu s’éteignait, un petit bout de charbon de bois était conservé afin d’allumer la bûche de l’année suivante.
Souvent, les cendres étaient dispersées sur les champs afin d’assurer leur fertilité.
Par la suite, la bûche de Noël fut utilisée comme décoration de table pour le réveillon, et lorsque les cheminées furent remplacées, dans les maisons, par des poêles, la bûche de bois laissa place à la pâtisserie : la bûche au chocolat qui nous est maintenant familière.

bûches de chez Vatel Lyon/image d’archives !

Les origines des traditions de Noël/4

4 – Le sapin de Noël

Vraisemblablement d’origine païenne, la tradition du sapin de Noël remonte à une époque où les arbres à feuillage persistant étaient perçus comme des symboles de renouveau de la vie et d’espérance pour l’année à venir.
Mais le sapin est aussi présent au début de l’ère chrétienne Boniface, saint et martyr d’origine anglaise, fut envoyé en 719 par le pape Grégoire II en Allemagne pour convertir des païens. La légende veut qu’à Geismar, en Thuringe, il soit tombé sur un groupe de païens qui adoraient un chêne, associé au dieu Thor, et qu’il l’ait abattu dans un accès de colère. A la place poussa un sapin, et Boniface déclara que ce serait le nouveau symbole chrétien.
Mais l’arbre de Noël tel que nous le connaissons est beaucoup plus récent. D’après une plaque apposée sur la place de l’hôtel de ville de Riga, en Lettonie, le premier « arbre du Nouvel An » se serait dressé là en 1510. A peu près à la même époque, le théologien allemand Martin Luther, qui se promenait une nuit dans une forêt de conifères, avait été tellement frappé par la beauté des étoiles qui brillaient à travers les branches qu’il en avait rapporté un chez lui et l’avait décoré de bougies.
Il est fait pour la première fois mention d’un sapin décoré à l’époque de Noël en 1570, à Brême, en Allemagne, où l’un de ces conifères fut apporté dans la maison des guildes et décoré de fruits et de noix, ensuite distribués, le jour de Noël, aux enfants du voisinage.
Beaucoup de gens pensent que c’est le mari de la reine Victoria, le prince consort Albert, qui introduisit en Angleterre la tradition de l’arbre de Noël, déjà répandue dans son pays natal, mais les archives font apparaître que Charlotte, la grand-mère de la reine, elle aussi d’origine allemande, avait fait adopter la coutume à la cour du roi George III dès 1800.
Cela dit, c’est assurément sous le règle de Victoria que la coutume s’est généralisée hors de la famille royale : Albert avait fait don de sapins de Noël dans des garnisons et des écoles, et les magazines de l’époque publiaient des illustrations de la famille royale avec leur sapin.

Les origines des traditions de Noël/2 et 3

2 – Les cartes de voeux
La tradition des cartes à thèmes religieux imprimées à partir de gravures sur bois remonte au Moyen Age, mais la carte de vœux telle que nous la connaissons est relativement récente. L’envoi de cartes faites maison remonte à l’an 1840, date de la création en Angleterre du premier service postal, le Penny Post. En 1843, Sir Henry Cole, promoteur de ce système, demanda à l’artiste John Calcott Horsley d’élaborer la première carte de vœux imprimée afin de la commercialiser. Elle fut tirée à mille exemplaires et représentait une famille en fête ainsi que des scènes de charité, telles que la distribution de vêtements et de nourriture aux pauvres, accompagnée de la formule : « Joyeux Noël et Bonne Année ». Les années suivantes, la tradition se développa grâce aux progrès de l’imprimerie. Dès les années 1860, la production décolla.


3 – Les Bas
Cette pratique remonte à l’époque préchrétienne et à la fête de Yule du folklore germanique. Ce jour-là, Odin partait chasser et les enfants laissaient dehors leurs chaussures pleines de foin et de sucre à l’intention de son cheval ailé. Pour les remercier, le dieu déposait de petits cadeaux dans leurs souliers vides. Plus tard, la coutume fut associée à Saint Nicolas.
D’après la légende, un noble désargenté se trouvait dans l’impossibilité de réunir les dots nécessaires aux mariages de ses trois filles. Soucieux de lui venir en aide, mais de façon anonyme, Saint Nicolas jeta par la cheminée quelques pièces d’or qui atterrirent dans les bas que les demoiselles avaient mis à sécher devant l’âtre.

Les origines des traditions de Noël/1

C’est l’hiver, aujourd’hui. C’est aussi le jour le plus court et la nuit la plus longue 😆 Mais les jours vont commencer à rallonger. Excellente nouvelle !

J’ai ce livre « Les secrets d’un Noël inoubliable » de Juliana Foster depuis des années sur un rayon de ma bibliothèque 😆
Et comme je/nous ne savons pas tout, je vous fais partager mes trouvailles !

1 – Le Père Noël
Le gros bonhomme jovial qui apporte les jouets aux enfants sages la même nuit est désigné sous des noms différents selon les pays, mais dans le monde anglophone, le Père Noël est généralement appelé Santa Claus, du néerlandais Sinterklaas ou Sint Nicolaas. Saint Nicolas est né au IIIe siècle dans une région de la Grèce qui appartient aujourd’hui à la Turquie. Il consacra sa vie à aides les malades et les nécessiteux, surtout les enfants, et fut nommé évêque de Myre, une ville aujourd’hui disparue. Il était vénéré dans toute l’Europe, et le 6 décembre, jour supposé de sa mort, lui est consacré.
Au XIIIe siècle, les évêques avaient pris l’habitude de faire des petits cadeaux aux enfants qui servaient la messe le jour de la Saint-Nicolas. Dans bien des pays, c’est encore le jour où l’on offre les cadeaux de Noël.
Plus tard, Saint Nicolas fut associé à de nombreux contes populaires européens primitifs concernant les échanges de cadeaux. L’un des contes, notamment, faisait intervenir un saint homme et un démon, souvent appelé Krampus. Ce personnage terrifiant s’introduisait dans les maisons par la cheminée et tuait les enfants ou les emportait dans un sac. Le démon était finalement attrapé par un saint homme qui l’obligeait à se racheter en livrant les cadeaux aux enfants.
En Angleterre, au début du XVIIe siècle, en signe de résistance envers la condamnation puritaine des festivités de Noël, l’esprit de Noël fut personnifié par un gros bonhomme barbu vêtu d’une robe verte bordée de fourrure, l’ancêtre du Père Noël. Il était aussi désigné sous le nom de Lord Christmas, Seigneur de Noël, sans être encore associé aux cadeaux, ni aux enfants.
C’est en Amérique du Nord que naquit l’image moderne de Santa Claus, lorsque les colons fusionnèrent les légendes de Saint Nicolas et du Père Noël.
Dans son Histoire de New York (1809), Washington Irving traduit Sinterklaas par Santa Claus. Ce personnage prit une forme plus précise grâce à « une visite de Saint Nicolas », poème devenu classique, publié pour la première fois en 1823 dans un journal new-yorkais et mieux connu aujourd’hui sous le titre « La nuit avant Noël ». C’est ce poème qui donna naissance à la légende des rennes du Père Noël.
Contrairement à une idée répandue, ce n’est pas la compagnie Coca-Cola qui introduisit pour la première fois le costume rouge traditionnel du Père Noël dans ses célèbres campagnes d’affichage des années 1930. La tenue rouge moderne du Père Noël avait vu le jour longtemps auparavant, dès 1885, lors de la mise en vente d’une carte de Noël dessinée par l’imprimeur Louis Prang, à Boston.

Quelques suggestions de cadeaux pour Noël
« A ton ennemi, le pardon
A ton opposant, la tolérance
A un ami, ton cœur
A un client, un service
A tous, la charité
A chaque enfant, le bon exemple. »

Oren Arnold
(journaliste et romancier américain »

Le Défi du 20 chez Dame Uranie

On n’en attendait pas moins de Dame Uranie ! Elle est coquine, hein ! Et du coup, elle nous a titillées et nous nous devions de relever son Défi

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Le 20 novembre, nous avons découvert ses choix. Faut dire aussi qu’elle s’était désignée « volontaire » pour ces moches lettres de fin d’alphabet 😆 Alors c’était son droit !

Pour décembre dernier mois de l’année, il nous reste :
W  X  Y  Z
 je propose à chacune 2 solutions : 
 1 – écrire un texte avec la lettre de votre choix et ses mots,
 ou
2 –  écrire un texte avec les 4 lettres et 8 mots,
W  Watt et Wassingue
X  Xylophage et Xylophone
Y  Yé-yé et Yo-yo
Z  Zen et Zinc

Qui va tenter le 2e choix ? hâte de voir ! ça s’annonce pas facile.

Exceptionnellement, pas de photos, que des mots.

« Yé-Yé & Yo-Yo sont en bateau. Yé-Yé tombe à l’eau. C’est qui qui reste sur le bateau ? » Tout l’monde la connaît cette blagounette, hein ! On disait, quand on était mômes, « Pince-Mi et Pince-Moi » et comme on ne savait pas qu’en fait c’était le même, on se faisait toujours pincer la joue ou le bras 😥
Bon j’peux faire tout pareil avec Zen & Zinc 🙄 Non, j’ai une meilleure idée, j’vais rebaptiser les tortues de Patricia, ses Ben & Nut 🙄
Sans rire, pas plus tard que cette année, le 17 novembre dernier exactement, on était zen après la dégustation de p’tits canons de Beaujo nouveau, au zinc du Bar des Amis 😆
Et pour le mots en « Y » j’peux parler aussi de mes souvenirs d’enfance. J’suis née au début des années YéYé. Toute petite, j’ai eu des yoyos car ma mère en avait eus aussi quand elle était petite. Les miens ne déroulaient qu’une seule fois 😥 avec la ficelle presque plus grande que moi, et puis plus rien 😥
Mon père me fabriquait aussi des osselets avec de vrais os de pieds de cochon qu’il peignait en rouge. J’adorais aussi mon xylophone en bois, offert par mon parrain, qui a fini dans le grenier -pas mon parrain, le xylo- bouffé par des bêtes à bois -xylophages-.
Si ! Même que c’est vrai. « Si tu mens, t’iras en enfer« , me disait ma mémé. Alors j’mens -presque- jamais 🙄 Juste, de temps à autre, j’dis pas toute la vérité 🙄
Bien plus tard, j’avais des pantalons patte d’eph pour aller danser ! Et oui, Soène dansait dans les années septante.
What else, Soène ?
Encore des années plus tard, y’avait pas encore WhatsApp mais des coupures d’électricité à certaines heures de la journée, les watts manquaient.

A septante ans passé, pour économiser des watts -et mon dos !- je repasse moins mais je fais encore la poussière et je passe toujours la serpillière -dans le Ch’Nord, on dit « wassingue »- Les carreaux blancs c’est pas top, aussitôt propres, aussitôt sales 🙄

PS : Dame Uranie, tu nous as cherchées, tu nous as trouvées 😆
Mais y’a pas d’mal à s’faire du bien rire.
Promis, PassiFlore, en 2022, je ferai tout bien comme tu nous le demanderas 😉

Bonne Fin d’Année
Rendez vous le 20/01/2022

Deux en un le samedi

Le samedi, c’est permis et même recommandé, on joue avec Ma’. Son Projet du jour soulier(s) est d’actualité clic car il va nous falloir bientôt choisir et astiquer les petits souliers qui seront déposés au pied du sapin 😆

Grands ou petits, les souliers, -on n’emploie plus guère de nos jours ce mot un peu désuet-, on parle plutôt de baskets ! Etre dans ses petits souliers ou au contraire bien dans ses baskets, des expressions très explicites.
Alors lequel choisir de petit soulier, le tout mignon de Cendrillon, un modèle Louboutin ou la chaussette du Père Noël ? Ma photothèque n’a pas ce genre d’articles dans sa mémoire 🙄

Impossible n’est pas Soène, hein !
Des baskets dans le ciel de Saint-Jean feront l’affaire

Pour le 24 Heures Photos de Patricia
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Tandis que tout est blanc et magnifique chez notre Amie la Dame du Vercors, à O. tout est gris et gadoueux. La frétillante rivière Yzeron, pressée de rejoindre le Rhône, a bien envie de déborder dans le Parc du même nom. Mais non, elle ne quitte plus son lit depuis des aménagements colossaux pour éviter les inondations à répétition.

Challenge « Textes courts » chez Lydia

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Alors que j’étais partie farfouiller dans les rayons livres du Foyer NDSA à O. en quête d’une BD et d’un Manga -je n’en ai pas trouvés qui me plaisent- pour jouer avec Lydia, ce petit livre tout neuf a attiré mon attention. Les lions ne mangent pas de croquettes ! Ca m’a fait sourire et en plus, une bonne action à 1 euro, ça ne m’a pas ruinée !
Arrivée à la maison, (après avoir passé la couverture au lait démaquillant), je lis au verso, en bas : « prime offerte dans le cadre de l’opération Les Mercredis à lire et dans la limite des stocks disponibles. Ne peut être vendue. Tirage limité » 😆

Ce petit livre de André Bouchard n’a jamais été ouvert et les pages sentent bon le papier.
Et bien, Moi, je l’ai lu et sauvé de l’anonymat. Perdu dans une pile de livres, il aurait même pu être maltraité par des petites mimines 🙄

Catégorie : Conte
Nom de l’auteur : André Bouchard
Titre : Les lions ne mangent pas de croquettes – Editions Seuil Jeunesse
Nombre de pages : 32 pages que j’ai dû compter !


4e de couverture :
« Pas de chien, ni de chat ! » ont déclaré papa et maman.
Comme Clémence est une petite fille obéissante, elle a donc amené un lion à la maison. »

Avant de commencer l’histoire, ces quelques lignes :
« Cet album a été choisi parmi les plus beaux livres jeunesse par des professionnels de la littérature, des médias et de l’enfance, tous passionnés par cet univers.
« Nous avons le plaisir de vous faire découvrir cet ouvrage. A travers ce livre, nous espérons donner aux plus jeunes le goût de la lecture et l’amour des belles histoires, celles que nous partageons en f amille, que nous racontons au coucher qui qui aident les enfants à grandir et à s’ouvrir au monde.
Les lions ne mangent pas les croquettes est un album à l’humour caustique.
Ramener un lion à la maison, quelle drôle d’idée !
On suit avec délice les tribulations de cet animal de compagnie à l’appétit féroce. »
Le comité de sélection des Mercredis à lire :
Anna Cabana, Marie Drucker, Laurence Engel, Régine Hatchondo, Alexandre Jardin, Nathalie Le Breton, Delphine Menez, Marcel Rufo, Anne-Cécile Sarfati, Domitille Viaud.
« 


Dès 3 ans, est-il indiqué 🙄 il faudra que la lectrice -maman- ou le lecteur -papa- trouve les mots pour répondre aux questions des bambins ! Certes, les illustrations parlent d’elles-mêmes, imagées et savoureuses, mais plutôt aux adultes !
Hélas, pas de trace du nom de l’illustrateur.

Pour résumer très vite l’histoire, le lion que Clémence a ramené à la maison -qui n’a pas de petit nom- n’aime pas les croquettes, il n’aime que la chair fraîche. Qu’à cela ne tienne, il croque tous les humains qu’il croise. Même la petite Clémence 😥

Après les avoir tous mangés, le lion retourne dans sa savane auprès des siens et lit l’histoire aux petits lionceaux couchés en cercle autour de lui :

« Voilà, c’es fini. Alors, elle vous a plus mon histoire, les enfants ?
– Ouais, sauf la fin qui est triste.
– Oui, pauvre petite fille !
– C’est pas ça, c’est pour le lion que je suis triste.
– Ah bon ?
– Ben oui ! Il ne lui reste plus que des croquettes à manger, maintenant ! »