Projet de Ma’

Elles sont finies, c’est pour ça que Ma’ en parle des vacances pour son Projet du jour clic

Les miennes ont commencé en mai ; elles étaient absolument Fantasiastiques !

Et comme j’ai horreur de cette foule agitée qui veut vacancer « culturellement intelligent », je me planque l’été et fais des balades et des escapades tranquilles…

Pas de randos à cause des deux canicules. Juste quelques petites surprises et belles découvertes entre Amis.

En même temps, je prépare une autre croisière pour octobre 2020. Ben, oui, les projets ça me porte et ça me donne la pêche !

En photos, quelques indices de mes « vacances« 

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de gauche à droite, en partant du haut
l’Abbaye de Charlieu, le cloître du Grand Hôtel Dieu, Croquet, le chat noir, Marseille, mini observatoire vers Thurins, le château de Dré, des images d’Italie, le crayon à Lyon, l’observatoire au Mont St-Rigaud, le Casino le Lyon vert, l’église de Semur en Brionnais et une chaise longue dans les cours du Grand Hôtel Dieu à Lyon !

Le jeudi, si on chantait… Fin

C’est la toute dernière fois… Qui a dit tant mieux ? Antiblues ?… Qui aime bien châtie bien, hein !
Comme je ne suis pas du tout rancunière, une p’tite chanson -version en français- de ZZ Top ! clic
En même temps, ça va faire trop plaisir à Edualc de Picardie. Pas de rose, Ami, mais du hard rock !! (à So’N rien d’impossible !)

Avouez quand même que la version en français ne casse pas trois pattes à un canard…

ZZTop

La grange

La rumeur se répand dans cette ville du Texas 
Concernant la cabane hors de ‘La Grange’ 
Et vous savez de quoi je parle. 
Dites moi seulement si vous voulez aller 
Dans cette maison là-bas dans les pâturages. 
Ils ont pas mal de filles canons ah. 

Ayez pitié. 
A haw, haw, haw, haw, a haw. 
A haw, haw, haw. 

Bien, j’entends que c’est bon si vous avez le temps 
Et le pognon pour vous y emmener. 
A hmm, hmm. 
Et j’entends que c’est complet presque tous les soirs, 
Bon maintenant, je peux me tromper… 
Hmm, hmm, hmm, hmm. 

Ayez pitié.

Projet de Ma’

Bienvenue chez WP, Ma’ ! Pas facile ton Projet pour ce samedi.
Il faut illustrer rire (s) clic

Maintenant que je n’ai plus de voiture, je peux en rire…

O. est devenue la première ville de la Métropole de Lyon limitée à 30 km/h !

cof

J’vous jure que c’est pas moi qui ai enjolivé ce panneau !

Le jeudi, si on chantait

Cé ça ké bo ! Antiblues m’a donné l’idée de farfouiller dans le répertoire d’Annie Cordy pour ma chanson de ce jeudi !

AP-ce ca ke bo

photo publiée avec l’autorisation de son auteur

Mais voilà, comment choisir une seule chanson dans la longue liste des chansons drôles de cette nonagénaire pétillante ? Ce que j’ai pu l’écouter et la regarder à la télé dans les émissions de Maritie et Gilbert Carpentier ? Vous vous en souvenez Amis Bascherelosaures ?

Un peu « paillarde » cette Bonne du Curé me ravit toujours clic

J’voudrais bien mais j’peux point
C’est point commode d’être à la mode
Quand on est bonn’ du curé
C’est pas facile d’avoir du style
Quand on est un’ fille comm’ moié
Entre la cure et les figures
Des grenouilles de bénitier
La vie est dure quand on aim’ rigoler

{Refrain:}
Mais quand le diable qu’est un bon diable me tire par les pieds
Ça me gratouille, ça me chatouille, ça me donn’ des idées
J’fais qu’des bêtises derrièr’ l’église
J’peux point m’en empêcher
Dieu me pardonne j’suis la bonn’ du curé.

J’voudrais bien mais j’peux point
Je voudrais mettre un’ mini jupette
Et un corsage à trous trous,
Mais il parait que pour fair’ la quête
Ça ne se fait pas du tout
Quand je veux faire un brin de causette
Avec les gars du pays
J’file en cachette derrièr’ la sacristie.

{Refrain}

J’voudrais bien mais j’peux point
Quand c’est la fête j’en perds la tête
J’voudrais ben aller danser
J’voudrais monter en motocyclette
Pour me prom’ner dans les prés
Et qu’un beau gars me compte fleurette
Avec des disqu’s à succès
Car les cantiques ça n’vaut pas Claude Françoué

{Refrain}

La la la la la la la ……………….

et en bonus une autre version clic

Projet de Ma’

Mais si, je suis là ! Comme c’est samedi, je joue avec Ma’ clic et son Projet hebdomadaire lointain

Au Jardin des Curiosités, on n’est pas sûr d’apercevoir le Mont Blanc dans le lointain

chaise Jardin curiosités Lyon

mais on a une vue superbe de Lyon à 180° et des 3 tours, la Tour Part-Dieu, « le crayon » -à droite-, la tour Oxygène -au centre- et la plus récente, Incity avec son antenne « licorne »

Tours Lyon

Zingaro

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Aucune photo pour ce spectacle artistique. Les consignes répétées avant d’entrer étaient strictes : portables éteints, pas de bruit et applaudissements interdits pour ne pas perturber les chevaux et ne pas déconcentrer les « meneurs » de chevaux.

“Le Théâtre équestre Zingaro est une tribu mi-hommes mi-chevaux. J’aime ce mot tribu. Il indique que ses membres obéissent à des lois non écrites, celles de gens très indépendants qui ont choisi de vivre une même aventure, de travailler ensemble dans la même manufacture à rêves, et d’offrir aux autres ce qu’ils y ont conçu. J’aime voir les gens de la compagnie évoluer au fil du temps ; j’aime les voir fleurir, comme on le dit des chevaux ; non seulement par le travail mais aussi dans le quotidien par l’intensité de leur présence et de leur rapport au temps.”

Le Théâtre équestre Zingaro s’est produit pour la dernière fois à Lyon, dans le cadre des Nuits de Fourvière. Depuis le temps que j’en avais envie, j’y suis allée l’avant dernier jour de la représentation Ex Anima. clic

Bartabasimage du Net

Bartabas tirera sa révérence à la fin de cette tournée 2019.

Dès l’entrée dans l’immense chapiteau installé au Parc de Parilly, le ton était donné. Dans le noir absolu, nous avons rejoint nos places. Petit à petit, les yeux se sont habitués, guidés juste par quelques petites bougies entourant la scène invisible, en contre-bas.
L’obscurité et la chaleur étouffante mettaient les spectateurs en condition !

Fascinant, bouleversant, troublant, je ne fais que reprendre les mots du Masque et la Plume, ces trois adjectifs résumant parfaitement cette mise en scène.
Les chevaux, mi bêtes-mi hommes, sont en liberté, guidés par la musique et les sons d’une équipe d’ombres vivantes et silencieuses, mi hommes-mi bêtes. Luisants de transpiration, les chevaux connaissent par coeur leur « travail » ou leur « jeu », sachant qu’à la fin de chaque scène, ils seront récompensés.

Immobiles -ce qui est très difficile pour un cheval-, silencieux, ordonnés, obéissants, ils mènent des danses effrénées, miment des situations périlleuses et improbables. La musique ethnique de l’orchestre rythme leurs pas, leur allure, leur entrée et leur sortie, dans un bruit de sabots qui résonnent sur les planches.

Magiques, irréels, jamais les chevaux ne s’emballent même quand ils font semblant de se quereller. Fausses morsures et ruades avortées sont la grâce même, le tout effectué à allure folle et mouvements coordonnés.

Bravo et Merci, Monsieur Clément Marty. J’avais tant entend parler de vous et de vos chevaux. Quel spectacle magnifique ! Mais si je peux me permettre juste un tout petit reproche -on a dû vous le dire…- je n’ai pas du tout apprécier la dernière vision du cheval vivant et du cheval de bois…
Bravo aussi à toute l’équipe de dresseurs. La dernière scène où vous mimez vos Bêtes était criante de vérité !