Enquête dans ma bibliothèque-mes lectures inachevées

Ce billet n’est pas un Tag. C’est le bilan de mes lectures inachevées et la liste s’allonge…

Depuis mon adolescence, j’adore les citations. J’en ai rempli plusieurs cahiers depuis une cinquantaine d’années. En farfouillant sur le Net pour trouver quelques illustrations rigolotes pour ce billet, avec les mots clés « lectures inachevées » je suis arrivée sur le Blog de Bibliza, une trentenaire qui aime la Littérature. -Ouf ! ça existe encore les jeunes qui aiment bien lire-

En particulier sur son billet ICI
et cette image adorable
je vous conseille fortement de savourer ses « dégustations littéraires »

Après ce préambule, venons-en à mes livres abandonnés.

En premier, un clin d’œil affectueux à Mindounet que je suivais avec délice dans ses lectures dans le « monde d’avant » et qui m’avait incitée à lire Belle du Seigneur d’Albert Cohen -il l’avait adoré-
Je me suis arrêtée à la page 426 ou à la page 598 ? (1110 pages en tout) car y sont posés deux marque-pages, délaissant le beau Solal et la petite Timie.
Désormais sur FB, Mindounet, si tu viens jeter un regard par ici, je te le promets, je le finirai un jour ce livre.

Un autre « pavé » de 1100 pages Le Chardonneret de Donna Tartt, délaissé à la page 438 pour cause d’ennui.

LaRose de Louise Erdrich, offert par mon Amie BaBaYaYa, pour mon anniversaire. 297 pages lues sur 566. Le titre m’a trompée, il ne s’agit pas d’une rose dans le roman.

Les vieilles de Pascale Gautier, planté -le livre, par les vieilles !- à la page 64 sur 215.

Sa Majesté des chats de Bernard Werber, acheté d’occasion et c’est tant mieux. Posé à côté de mon lit, ce livre volumineux de 456 pages dans son édition brochée chez Albin Michel, n’a retenu mon attention que sur les 50 premières pages. Bastet et Pythagore racontent un peu trop la même histoire, à mon goût.
J’avais pourtant apprécié l’histoire du premier livre de cette série, Demain les chats, offert par Antiblues du temps où on n’était pas fâchés pour toujours.

Les années douces de Hiromi Kawakami, dont j’ai lu 129 pages sur 284, sans y trouver un réel intérêt. Et pourtant j’aime l’écriture japonaise, tout en poésie.

J’ai mené toutes vos batailles… de Antoine George, prêté par une Amie. 127 pages lues sur 225. Un sujet bien trop grave, une bataille d’un homme avec « Alzo ». Je vous laisse deviner qui est cet adversaire redoutable et redouté par nous les « vieux ».

Dernièrement, enregistré sur ma liseuse, Les accommodements raisonnables de Jean-Paul Dubois, proposé au Club de Lecture. Une sorte de journal qui commence en décembre pour finir un an après, en janvier. Je suis arrivée péniblement à la moitié de cette année-là !

Et depuis hier soir, Efface toute trace de François Vallejo. J’ai insisté, résisté et abandonné cette enquête sur des morts louches et morbides de trafiquants d’Art. Un casse-tête pour l’expert chargé de l’enquête qui nous noie dans une masse de détails qui nous embrouille.

Quelques livres parcourus que je ne lirai jamais complètement :
Psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim, totalement indigeste,
Madame de Sévigné par Stéphane Maltère, une Femme au caractère bien trempé comme j’aime,
Jean Moulin de Jean-Pierre Azéma, à picorer de temps à autre, pour me nourrir encore et encore de la vie de « mon » Héros, au hasard d’un des chapitres,
Un hiver à Majorque de George Sand, acheté sur place, à la boutique du Musée.

Quelques livres achetés et stockés dans ma Pal :
La maîtresse des épices de Chitra Banerjee, trouvé au hasard, d’occasion, état neuf ! Quelle drôle d’idée car je n’aime pas du tout les épices.
Les héritiers de l’avenir / Le cahier de Henri Troyat. Tiens, celui-ci va partir en « don »
Une vingtaine de romans d’Anne Perry, rachetés pour deux francs six sous à une ancienne collègue de boulot, mais ça, c’était du temps où je lisais encore Katherine Pankol, Marc Lévy et Guillaume Musso !

Durant cette drôle de période qui ne semble pas prête à s’achever, je lis un peu, bien moins que certaines de mes Amies lyonnaises ou bloguesques. Il m’est impossible de lire des heures d’affilée, ni toute une partie de la nuit. Le soir, je lis quelques pages pour m’endormir.

PS : j’espère que ce billet vous donnera l’envie de faire l’inventaire des livres que vous avez abandonnés et d’en faire aussi tout un billet 😆